Pour la prochaine parution de Mort comme au premier jour, nous lançons une campagne Ulule de financement participatif avec un objectif de 50 préventes afin de dimensionner au plus juste le premier tirage de l'ouvrage.
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Ce texte court de 76 pages, autant que Les poubelles pleurent aussi, est issu du retravail et de la complétude d'une nouvelle intitulée Attendre la mort et revivre que j'ai écrite il y a près de 20 ans. Elle avait alors eu les honneurs du Prix Alain Dorémieux Nouvelle Génération (en 2003).
C'est l'histoire d'un type banal et bancal et dès le début, il trébuche dans un escalier et il meurt.
Très vite, plus d'infos : quatrième de couv et autres joyeusetés…
Joie !
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"Shades of nothingness" de Ben Baldwin |
Les deux premiers volumes se lisent d’une traite. On y rit beaucoup, l’intrigue est très simple, mais la plume vraiment habile et les références à la littérature et au cinéma de science-fiction et de fantasy pullulent. L’auteur réalise le tour de force de rendre attachant un pseudopode coprophage, et de nous donner envie de suivre cette troupe de dingues à travers les galaxies. Il y a quelque chose de la folie de Douglas Adams dans cette histoire d’aliens « omnipotents mais jusqu’où ? » et autres détritivores.
Le troisième volume est le Guide illustré par Zariel, et se révèle très important pour comprendre… le quatrième tome. La mise en page y est superbe, les dessins tout aussi dingues que les romans.
Enfin, le quatrième tome change légèrement de tonalité : l’intrigue s’y fait complexe, on joue avec les paradoxes temporels et on découvre quelques facettes plus sombres de l’univers. Mais c’était une évolution nécessaire, pour étoffer et éviter de tomber dans un comique de répétition.
Pour résumer : une saga très drôle, bien écrite, soignée dans la mise en page.
[...] Tous ces auteurs possèdent une plume, d'ailleurs nombreux ceux qui ne sont pas à leur coup d'essai, alliée à une imagination foisonnante, et je ne serai pas étonné de les retrouver dans quelques temps dans un programme plus ambitieux, un recueil de nouvelles à leur actif quoique ce soit un genre souvent délaissé par les lecteurs, ou un roman chez un éditeur exigeant, ce qui ne veut pas pour autant dire un éditeur parisien. Je pense à, outre Malpertuis bien évidemment, aux éditions Rivière Blanche ou encore Critic.Quelle actu, mes aïeux :)